Par Chuck Noel,
Sombre demeure, implacable courroux,
De ce cœur battant, il demeure solitaire,
Etranglé dans de tristes desseins,
Opiniâtre volupté s’empare de lui,
Sentiment étrange de désir,
Le désespoir le ronge,
L’espoir l’enivre,
Mais le courage lui manque,
Pour déposer sur l’autel,
La marque de sa faveur,
Mélancolie dans son cœur,
Prisonnier d’un purgatoire,
Attend son oriflamme,
Et son oukase libérateur,
De sa bienveillante allégresse,
Son âme lui est retournée,
Dans une symphonie héroïque,
L’Odyssée ne fait que commencer.