Poème – Grand Amour de Liberté :

Par CorsicanLibertarian,

Toi, Ô grande âme, que je vois vilipendée, avilie.
Beauté soudaine et inaliénable,
Tu es battue par les plus perfides des fouets
Et entaillée par les plus vicieux des rouets.
Mais dans ce lugubre clair-obscur,
Je te vois debout,
Irascible de courage, et dédaigneuse envers les couards.
Ô toi Liberté, qui te fera Néant plutôt qu’Esclave,
Je clame ton nom en ce soir de pois.

Car sous les nuages menaçants,
Tu auras toujours un partisan,
Pour chanter ton nom.
Car sous les flots rugissants,
Il y aura toujours un partisan,
Pour se noyer en ton nom.
Car dans le vacarme assourdissant,
Il y aura toujours un partisan,
Pour les marteler en ton nom.

 

Liberté !

 

Grand Amour de ma Vie,
Rose sans Épine, Rose de Loi,
Bonheur Éreintant qui parsème ce Moi,
Loin de ces yeux qui te regardent, plein de Joie,
Loin de ces yeux qui te regardent, plein de Foi,
Toi qui disparaît dans l’écume du matin,
Sur ce navire, tu disparais au loin,
Grand Amour de ma Vie

 

Mademoiselle, puis-je vous prendre la main ?
C’est en votre compagnie que je souhaite en finir.
Et voici que Dame Liberté lui répondit,
Mon cher compagnon, il ne pourrait être mort plus douce,
Que celle qui me fera glisser dans le creux de vos bras.
Et le doux sussurement de votre coeur qui fatigue
Me bercera vers le sinueux fil de notre Amour.

 

Et c’est ainsi que Dame Liberté succomba,
Meurtrie sur le corps de son ami,
Qui à jamais la pleura,
Entouré par la perfidie qui avilissait le monde.
Liberté, je pleure ton nom …

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