Par CorsicanLibertarian,
Sur le mur d’un de mes contacts, j’ai pu lire que nous étions passés du vivre-ensemble au vivre avec. C’est malheureusement ce que l’on peut constater désormais. Nous vivons avec un « vivre-avec » systémique : Nous vivons-avec le parasitisme contre lequel le corps contaminé ne peux plus utiliser d’anticorps. Nous vivons avec des lois désuètes, profondément anti-naturelles et anti-existentielles. Nous vivons en permanence avec des « barbares de l’intérieur », parasites comme infectés.
Je ne vous dirais pas qu’il faille une rébellion, une purge, une guerre. Il est toujours bien facile de dire cela derrière un écran qui peut nous couper des réflexes cognitifs du monde réel et de notre quotidien.
Cependant, ne tombons pas non plus dans cet autre dogmatisme qui consiste à cautionner les paroles de Valls disant que rien ne permet d’améliorer la situation actuelle et que les Français doivent s’habituer à la terreur islamiste. C’est, je pense, une terrible erreur. Dans la nature, on ne s’habitue pas à un environnement qui change. On évolue, on s’adapte ou bien on disparaît. On change d’Être, on change de Technique, ou on enterre le Droit d’égale liberté.
Les solutions sur le court terme peuvent effectivement être marginales, cependant je pense que les penseurs dits progressistes et égalitaristes devraient couper temporairement cette facilité d’appeler fasciste tout ce qui ne correspond pas à leurs idéaux dans le but de modérer la situation, sauf à être eux-mêmes des « barbares de l’intérieur », à savoir qu’ils vivent en état de civilisation sans en comprendre les tenants et aboutissants. Ces barbares auront tout autant leur part dans la chute de celle-ci, au côté des divers terroristes.
José Ortega, en ce jour maudit, je crie ton nom.