La question est encore une fois soulevée après le drame survenu dans une Église méthodique fréquentée par la communauté noire faisant état de 7 morts. Le port d’arme nuit-il à la sécurité d’autrui ?
Les médias dominants l’affirment : le port d’arme est un danger. Il faut l’abolir de part et autre du globe, bien entendu laissant le monopole de son usage à l’État et aux voyous qui n’ont pas besoin de réglementation pour s’arroger le droit de se doter d’une arme à feu. Il n’y a qu’à voir l’extrême facilité pour n’importe quel voyou de se procurer une arme en France. (Cf. tous les attentats perpétrés sur le sol Français ou encore des règlements de compte dans le Milieu etc.)
Face à cela reste sur le « banc de touche » la grande majorité des honnêtes individus Désarmés face à l’État et aux voyous ou tout autre déviant.
L’argument qui revient le plus souvent est celui de l’armement des citoyens engendrerait une multiplication des abus, imaginez un coup de colère, le citoyen hors de contrôle sort son arme et fait feu. Or, un citoyen hors de contrôle ne se maitrisant pas peut tout à fait prendre un autre objet pour commettre son forfait. C’est l’usage de la chose qui est ici répréhensible et non la chose en elle même. Il n’y a qu’à voir par exemple dans l’actualité récente que le forcené autrichien pour commettre son massacre n’avait pas d’arme à feu mais une voiture assez rapide…
Ce qui revient à un autre argument le port d’arme multiplierait les « crimes de masse », il n’y a qu’à revoir l’exemple Autrichien… et notons qu’aux États-Unis ces crimes de masse sont dans quasiment tous les cas de figure commis dans des lieux publics où sont interdites …les armes à feux… le second amendement n’est pas là excessif mais au contraire amoindri, contrairement aux affirmations de la propagande anti-arme.
Rajoutons qu’en Suisse on compterait plus de 3 armes à feu par habitant … jamais de crime de masse. La faute aux armes ?
Le droit de se défendre dans sa sureté, dans sa propriété est un droit essentiel, même fondamental, contre les agressions extérieures : contre l’Oppression. C’est même un prérequis à l’usage de la Liberté. Comment se considérer comme libre si on ne peut pas prévenir les atteintes à ladite Liberté ?
La seule limite peut être au port d’arme, serait l’information du citoyen au bon usage des armes qui ne sait plus utiliser les armes après tant d’années -de siècles ! – de désarmement.
Ainsi, on peut redire que le Citoyen désarmé se retrouve ainsi à la merci su pouvoir, comme un chien ayant sa muselière. Menace anéantie !